Au Centre d’hébergement Champlain-de-l’Assomption, le vendredi 24 novembre 2017, à l’âge de 88 ans et 1 mois, est décédé monsieur Raymond Morin, époux de madame Solange Fluet.
Il demeurait à Saint-Gédéon.
Monsieur Raymond Morin sera exposé à la résidence funéraire Roy & Giguère Inc., 105, 1re Avenue Nord Saint-Gédéon, le vendredi 1er décembre en soirée de 19h à 21h30 ainsi que samedi, jour des funérailles, à compter de 9h .
Le service religieux sera célébré le samedi 2 décembre 2017 à 11h en l’église de Saint-Gédéon et de là au cimetière paroissial.
Il laisse dans le deuil outre son épouse madame Solange Fluet;
ses enfants: Bruno (Johanne Bouchard), Richard (Danny Landry), Fabien (Lily Thibodeau), Luce et Maryse (Jocelyn Roy);
ses 9 petits-enfants et ses 3 arrière-petites-filles.
Il était le frère de feu Rose-Alma (feu Lucien Quirion), Yvonne (feu Dominique Gagné), feu Florence (feu Alfred Quirion), feu Léopold (Cécile Lachance), feu Alice p.s.s.f., feu Roland (feu Marie-Jeanne Lachance), feu Rita (feu Roland Dupuis), feu Aline (feu Évariste Lachance), Obrien (feu Gabrielle Côté), feu Lucille (feu Hervé Lachance), feu Luc, René (Noëlla Tremblay), Laurette (feu Olier Lachance), Noëlla (Richard Blais) et de Jeannine Morin (feu Denis Poulin).
Il était le beau-frère de feu Madeleine (Henri-Paul Maheux) et de feu Monique Fluet (Jean-Luc Fortin).
Il laisse également dans le deuil plusieurs neveux, nièces, cousins, cousines et ami(e)s.
La famille désire remercier le personnel du Centre d’hébergement-Champlain-de-l’Assomptiion pour les excellents soins prodigués.
Vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don au Comité des bénévoles CHSLD l’Assomption, 16750, Boul. Lacroix, Saint-Georges, G5Y 2G4.
Nos plus sincères sympathies à la famille et aux amis de Raymond Morin (1929 2017).source
Décès pour la Ville: Saint-Gédéon, Province: Quebec
avis deces Raymond Morin (1929 2017)- avis mortuaire Raymond Morin (1929 2017)
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Le doyen nous a quittés
Difficile de perdre l’un des siens surtout à l’approche de Noël, ces réunions familiales. S’éveiller à la vie et renaître différemment à la nuit des temps. Se remémorer toutes ces années à apprendre, grandir et partager avec l’autre sa sagesse, son savoir, sa présence avec nous.
La maladie capte avec elle l’imagination, le contact moins actuel et représentatif de nous-mêmes. Égarer ses repères, ses pensées, ses remarques dans les conversations courantes.
Durant toutes ces années, il a donné le meilleur de lui-même pour sa famille, son travail, ses valeurs, ses idéologies, ses buts fixés. S’oublier parfois pour les besoins de la cause, les tourments journaliers, la routine habituelle.
Accueillir la mort par la suite comme le soulagement de l’inconfort, de la douleur physique et morale, de la disparition de son essence. Croire en l’invisible, au rassemblement avec les siens, à cette grande fête de célébration d’une vie éternelle pleine de sens, d’amour et de paix.
On n’effacera jamais les souvenirs passés avec cet être cher. Ils demeureront précieux en nous-mêmes accolés sur notre cœur dans toute sa richesse.
Dans cette période où l’on vit des émotions variées entre la tristesse, le soulagement, l’ennui, la fin d’une époque, visualiser en nous autre chose nous permet aussi de prolonger son existence pour l’éternité.
Nous sommes de tout cœur avec vous.
Ivanhoë Laflamme et Diane Généreux