Michel Bouchard décembre 24

Michel Bouchard décembre 24, 1941 – janvier 8, 2017

À l’hôpital l’Enfant-Jésus de Québec, le 8 janvier 2017, à l’âge de 75 ans, est décédé M. Michel Bouchard, époux de Mme Gabrielle Bolduc. Fils de Feu Alfred Bouchard et de Feu Eugénie Chayer, il demeurait à Charlesbourg. Outre son épouse, il laisse dans le deuil ses fils : Claude-Michel (Amy Barker), Jean-Denis, Marc-André (Mélissa Fortin); ses petites-filles : Emma, Mélina, Isabelle, Rose-Alice ainsi que Mme Julie St-Laurent (mère d’isabelle et Rose-Alice); ses frères et sœurs : Louise (Feu Henri Genest), Clothilde (Raymond Gervais), Feu Carmen, Feu…
Lire la notice complète Condoléances
13 janvier 2017
15:00 – 17:00
Complexe funéraire Sylvio Marceau
15015 Boul. Henri-Bourassa
Québec , Québec G1G 3Z2
(418) 522-5212
Comment s’y rendre
Condoléances
13 janvier 2017
19:00 – 21:30
Complexe funéraire Sylvio Marceau
15015 Boul. Henri-Bourassa
Québec, Québec G1G 3Z2
(418) 522-5212
Comment s’y rendre
Condoléances
14 janvier 2017
09:00 – 10:30
Complexe funéraire Sylvio Marceau
15015 Boul. Henri-Bourassa
Québec, Québec G1G 3Z2
(418) 522-5212
Comment s’y rendre
Funérailles
14 janvier 2017
11:00
Église Ste-Cécile
9150 ave. Jean-Paquin
Québec , Québec G1G 0A6
(418) 623-1847
Comment s’y rendre

Nos plus sincères sympathies à la famille et aux amis de Michel Bouchard décembre 24, 1941 – janvier 8, 2017.source

avis deces Michel Bouchard décembre 24, 1941 – janvier 8, 2017- avis mortuaire Michel Bouchard décembre 24, 1941 – janvier 8, 2017

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  1. En le transportant pour ses traitements de radiothérapie, je croyais sincèrement à la victoire contre cette maladie. Je me souviendrai de lui et de ses espoirs d’une guérison. Nos sincères sympathies, de Nicole et moi, à Gabrielle et à toute sa famille.

  2. En le transportant pour ses traitements de radiothérapie, je croyais sincèrement à la victoire contre cette maladie. Je me souviendrai de lui et de ses espoirs d’une guérison. Nos sincères sympathies, de Nicole et moi, à Gabrielle et à toute sa famille.

  3. Homélie à la messe des funérailles
    1 Jean 3, 16,20; Matthieu 25, 31-39

    Avec tous les témoignages que nous avons entendus au début de cette rencontre, on n’aura pas été surpris que l’on ait choisi cette page d’évangile pour notre célébration. Elle fait en effet l’éloge de tous ceux et celles qui, d’une façon ou de l’autre, croyants ou incroyants, ouvrent leur coeur à la détresse d’autrui. Notre frère Michel l’a fait de bien des façons et auprès de bien des personnes. Je peux en témoigner moi-même. Je l’ai vu pendant plusieurs années se consacrer avec dévouement au Service d’accueil aux réfugiés de Québec. Il s’est toujours montré disponible aux réfugiés, particulièrement durant les premières semaines de leur arrivée au Québec où il leur faut faire plusieurs démarches. Mais aussi en cours d’année, aidant l’un à faire son rapport d’impôt, l’autre à remplir un formulaire, apportant du pain à un troisième. De plus, c’est avec fidélité et patience qu’il a rempli au sein du Service d’accueil la fonction essentielle de trésorier, avec tout ce que cela implique de polyvalence et de disponibilité dans une petite organisation. Nul doute qu’au moment où il paraitra devant le Seigneur, il s’entendra dire: ‘Venez les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde. J’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ».

    Cette dernière phrase nous fait entrevoir l’immense grandeur de l’amour humain authentique. Grandeur d’un amour dans lequel la personne ne cherche pas ses intérêts à court terme mais se laisse toucher par la confiance souriante d’un petit enfant qui lui tend les bras, la détresse secrète d’un réfugié qui ne sait pas où se diriger dans un pays étranger, l’amitié solide d’un confrère de classe, d’un compagnon ou d’une compagne de sport ou de danse folklorique…Grandeur, donc, de la personne qui se laisse toucher par le regard d’autrui mais surtout qui pose les gestes concrets qui s’imposent. Même si elle ne s’en doute pas, dans cet amour qui l’ouvre à l’autre, cette personne rencontre le Christ Jésus lui-même, celui en qui les chrétiens voient le Fils même de Dieu. Celui-ci leur répond: « Amen, je vous le dis: chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. »

    Cela, Michel le savait. Il en était convaincu. Ses engagements n’étaient pas séparés de sa foi. Ils se nourrissaient de sa foi. Ils s’alimentaient dans la vision de Jésus donnant au monde l’exemple d’un amour véritable en offrant sa vie pour le salut de tous les humains. Saint Jean nous l’a dit, il y a un moment : « Voici comment nous avons reconnu l’amour: lui, Jésus, a donné sa vie pour nous ». Et l’évangéliste en dégage une conséquence toute simple, mais combien exigeante: « Nous aussi nous devons donner notre vie pour nos frères ».

    On a parfois oublié comment cet impératif était au coeur du christianisme. On attirait l’attention sur les pratiques religieuses, les dévotions diverses, la prière, la pratique des sacrements. On ne montrait sans doute pas assez que tout cela était au service de l’amour, devait nourrir notre amour: amour de Dieu et amour du prochain, deux amours indissociablement unis. Saint Jean nous le redit avec force dans la même lettre: « Celui qui n’aime pas son frère qu’il voit ne peut pas aimer Dieu qu’il ne voit pas » (4,23). Bien loin de nous détourner de l’engagement dans le monde, la foi chrétienne nous y plonge au nom même de l’amour de Dieu qui nous dilate le coeur et nous rend disponibles à nos frères et à nos soeurs. Plus nous entrons dans une relation personnelle avec Dieu, plus notre coeur s’ouvre à nos frères et à nos soeurs; et à l’inverse, plus nous ouvrons notre coeur à nos frères et à nos soeurs, plus nous expérimentons qui est Dieu, plus nous connaissons Dieu, car nous dit encore saint Jean dans la plus belle définition que l’on peut donner de Dieu, « car Dieu est amour ».

    L’Eucharistie que nous allons célébrer est le lieu par excellence où nous accueillons l’amour d’un Dieu qui se donne à nous sur la croix. Elle est aussi le lieu par excellence où nous répondons à cet amour en nous associant à l’offrande que Jésus fait de sa vie à son Père pour la libération et la joie de toute l’humanité. Comme Michel l’a fait bien des fois dans sa vie, accueillons cet amour qui vient de Dieu et offrons nous par amour au service de nos frères et de nos soeurs. Dieu en sera glorifié .

    Pierre Gaudette, ptre



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