Garneau Gingras, Élisabeth
1922 – 2017
Au CHSLD Vigi St-Augustin-de-Desmaures, le 4 octobre 2017, à l’âge de 95 ans et 5 mois, est décédée madame Élisabeth Garneau, épouse de monsieur Jean-Louis Gingras, fille de feu dame Bernadette Chamberland et de feu monsieur Philémon Garneau. Elle demeurait à Saint-Augustin-de-Desmaures.
Outre son époux, elle laisse dans le deuil ses enfants: Jules (Danielle Beaudet), Céline (Normand Rochefort), Esther, Simon (Cathy Cleveland), Vincent et François; ses petits-enfants: Julie, Chantal, Philippe, Jennifer, Jean-Vincent, Stéphanie et François-Xavier; ses arrière-petits-enfants: Noémie, Kayden, Chase, Éliane et Edouard; son frère Paul et son épouse Jeannine Lehoux; ses deux autres belles-sœurs Thérèse Pelletier (feu Dominique Garneau) et Marcelle Gingras (feu Dominique Chamberland); plusieurs neveux et nièces, quelques cousins et cousines, ainsi que quelques amis.
Élisabeth est allée rejoindre ses frères et sœur: Jean-François (feu Estelle Bélanger), Jean-Marie (feu Jacqueline Auger), Dominique, Judith (feu Robert Morissette)
La famille recevra les condoléances, en présence du corps, à la:
Coopérative funéraire des Deux Rives
Centre funéraire du Plateau
693, avenue Nérée-Tremblay, Québec G1N 4R8
le dimanche 22 octobre 2017, de 12 h à 15 h. Un hommage sera rendu par la famille à 14 h 30. L’inhumation des cendres se fera ultérieurement.
La famille tient à remercier tout le personnel du CHSLD pour les bons soins qu’ils ont prodigués à Élisabeth et pour tout le dévouement dont il a fait preuve au quotidien.
Veuillez compenser l’envoi de fleurs par des dons à la société Alzheimer de Québec. Des formulaires seront disponibles sur place.
Pour renseignements :
Coopérative funéraire des Deux Rives
Téléphone : 418 688-2411 ou 1 888 688-2411
Télécopieur : 418 688-2414
Pour l’envoi de messages de sympathie :
www.coopfuneraire2rives.com
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Nos plus sincères sympathies à la famille et aux amis de Garneau Gingras Élisabeth – 1922 – 2017.source
Décès pour la Ville: Québec, Province: Quebec
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J’ai appris le décès de Mme Gingras par ma sœur Madeleine, alors que j’étais à Shanghai pendant un voyage en Chine.
Mme Gingras et moi avions développé une belle complicité à partir de 1994 alors que je travaillais à l’hotel de ville de Fossambault. Après plus de de 23 ans, elle m’a reconnue et en moins de 1 minute, elle a pu mettre un nom sur mon visage et oui, la petite Dorval de la rue Paradis, c’était bien moi.
Je tiens à la remercier pour m’avoir aidée après le décès de mes parents survenu à 12 mois d’intervalle. Elle a toujours été d’une grande écoute, de bons conseils, ouverte d’esprit, elle s’intéressait à tout et elle avait une mémoire extraordinaire……. En 2004, j’ai commencé à travailler au Iga à Ste-Catherine, elle passait très souvent à ma caisse et vers 2012, 2013, j’ai peut être été l’une des premières à percevoir les premiers signes de cette maladie qui gruge petit à petit tes souvenirs, qui laisse ta mémoire semblable à un fromage gruyère.
Cette maladie, je la connais trop bien, elle a fait que mes parents deviennent des ados, des enfants et de jeunes enfants à qui tu dois continuellement tout répéter et qu’au plus profond de toi, tu demandes leur délivrance.
Je garde précieusement la petite crèche qu’elle m’avait donnée, votre mère à été un peu comme ma deuxième mère..
Je tiens à vous dire, qu’au Iga, tous les employés aimait la petite madame aux cheveux blancs toujours bien coiffés.
Pour terminer, je vous offre à m. Gingras mes plus sincères condoléances, ainsi à Céline et Esther que je n’ai jamais revues, à Simon que j’ai revu à quelques reprises, à Vincent que je croisait à l’occasion dans les allées du Iga et qui à chaque fois je me disais « mon dieu qu’il a une tête de Gingras », et qu’un jour Mme Gingras me le présente, Jules et Danielle, je vous embrasse. François, cher François, perdre sa mère ou son père fait partie des mauvaises épreuves de la vie; mais c’est comme le reste, il y aura toujours de moins bonnes journées tout comme de meilleures. Maintenant, il y a à quelque part, si je peux dire un ange aux magnifiques cheveux blancs qui ait là plus que jamais pour t’aider. Fais lui confiance, confis tes plaisirs, tes peines, tes problèmes, n’ais pas peur confis, ça marche. Un deuil, c’est comme la vie, ça se vit un jour à la fois.
Merci sincerement Claudine, tes mots et pensees sont tres chaleureux. Je viens tout juste de lire ton message, soit le 20 avril 2018 avec un peu de retard, LOL.