Clément Lapointe, époux de Marguerite Dion, domicilié à Warwick. 1930-2011 Après quatre années de lutte contre la maladie, Clément a tiré sa révérence en ce 10 octobre 2011. Pour le pleurer et le regretter encore et encore, il laisse dans le deuil ses quatre enfants tant aimés : Patricia, Luc, Alain et Anne-Marie. Ses petits-enfants qu’il chérissait tant : Gabrielle, Mathilde, Victor-Louis et Maxence Lapointe Saint-Pierre ainsi que leur papa Bruno Saint-Pierre (Patricia) de Warwick. Arianne et Grégoire Blanchet Lapointe, leur maman Suzanne Blanchet (Luc) de Candiac. Florence et Xavier Lapointe ainsi que leur maman Marie-Andrée Ouellet (Alain) de Sherbrooke. Flavie et Eugénie Beaulac ainsi que leur papa Yoland Beaulac (Anne-Marie) de Montréal. Il laisse aussi dans le deuil son frère : Grégoire Lapointe, rev. père I.V.D (Longueuil). Ses belles-soeurs : Léona Ramsay (Antonin), Thérèse Giguère (Léo-Paul), Georgette Grimard (Hervé) et Jeanne-Rose Toupin (Jean-Guy). La famille Dion (Asbestos), Conrad « Connie », Réjeanne, Marie-Rose, Gertrude épouse de Julien Vachon, Louis-Philippe, Richard Dion son épouse Olive Duplessis ainsi que sa belle-soeur Madeleine Langlois. Selon ses dernières volontés, il n’y aura pas d’exposition. Une cérémonie de la parole aura lieu dans la plus stricte intimité et les cendres seront déposées au cimetière de Warwick à une date ultérieure. Nous tenons à remercier l’équipe du CLSC pour les bons soins prodigués. Un merci spécial au Dr. Mélissa Joly pour sa ténacité et son soutien constant, ainsi que Marylène Patry, infirmière, pour sa compassion, son inhalothérapeute Valérie Beauregard, pour sa douceur, ainsi que l’ergothérapeute Dorothée Dionne qui a rendu sa fin plus confortable. À l’équipe de la pharmacie Réjean Roy de Warwick, nous vous remercions d’avoir tout essayé durant ces quatre dernières années pour soulager ses douleurs, spécialement France Roy et Véronique Bélisle qu’il appelait si gentiment « ses docteures ». Merci à la Clinique médicale de Warwick et son bon Dr Pierre Deshaies. À Suzanne Phiffner, un remerciement tout spécial pour sa présence constante ainsi que son accompagnement jusqu’à son dernier soupir. À vous tous, amis(es) et anciens clients(tes) qu’il aimait tant côtoyer, nous vous demandons de respecter notre intimité. Lorsque notre chagrin aura pris son envol, nous ferons une fête dans la nature pour perpétuer sa mémoire. Comme il a vécu, il voulait partir sans faire de bruit.
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